Sciences profanes et Sciences sacrées
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Les Nombres Premiers :
leurs secrets,leurs mystères
et les recherches qu'ils provoquent...
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Géométrie

 
 
La Matière n’est pas si matérielle que ça !
 
 
« C’est (…) l’observation qui crée la réalité.
Avant l’observation, l’électron revêt son habit d’onde. Le potentiel ne se réalise qu’après observation. »

 
Trinh Xuan Than.[1].
 
 
Il est essentiel de comprendre que l’humanité actuelle n’est pas arrivée au terme de son devenir, loin de là ! Tant qu’il y a un devenir, elle reste d’ailleurs enfermée dans la dualité. L’Inspiration qui mène toute chose demande à être justement reçue pour accomplir l’Œuvre de la Vie…

La connaissance des lois de la Nature 

L’homme est le résultat d’une complexité de plus en plus extraordinaire déployée par la Source créatrice ; il émerge, après des millions d’années, de la matière vivante déployée par la nature. L’astronome Trinh Xuan Than écrit : « Les lois intemporelles de la physique lui fournissent les thèmes généraux autour desquels elle [la nature] peut broder et improviser. Elles délimitent le champ du possible et offrent des potentialités. C’est à la Nature de les réaliser. (...) La matière s’organise selon des lois d’organisation et des principes de complexité, et acquiert des propriétés “émergentes” qui ne peuvent être déduites de ses composantes.[2] »
Ces lois, dans leurs formulations, ne sont pas si intemporelles que cela puisqu’elles s’exercent dans l’espace-temps et que l’homme les découvre dans ce contexte, mais leur Origine est évidemment, comme il est sous-entendu par l’auteur, au-delà de cet espace-temps ! L’humain se doit d’expérimenter la Nature, sans jamais en devenir esclave, et de recevoir de l’Esprit la compréhension de ce qu’il est en vérité. Il a été enfanté par elle, dans son corps physique qu’anime le Souffle de l’Esprit, à travers les règnes qui le précèdent, minéral, végétal et animal. L’adage ancien le dit : « L’homme ne domine la nature qu’en lui obéissant », et le Connaissant de la nature en a seul la maîtrise.
 
Nous savons que le corps humain contient quatre-vingts pour cent d’eau ; du point de vue de la dualité, l’Eau semble à l’opposé du Feu et pourtant l’Humain naît mystérieusement de lui :
« L’Eau va de pair avec Zénith,
le Feu va de pair avec Nadir,
c’est par ces Opposés, les Eléments de la Création,
que le dernier Enfanté de la Matière
est “conçu.”
[3] »
Pour les Anciens, rien ne peut exister sur Terre en dehors de la Substance Unique, de la Matière Primordiale. En elle se contient la Possibilité universelle, et cette création est une perfection sans limite. Si d’autres mondes avaient été existenciés, pensaient-ils, ils ne pourraient en rien ajouter une quelconque réalité à ce qui est dans le nôtre, qui est la perfection même. Ibn’Arabi rapporte les paroles d’al Ghazalî :
«“Il n'y a rien dans la Possibilité (imkân) [universelle] de plus parfait que notre monde, car s'il existait un monde plus parfait et que Dieu l'eût retenu, Il aurait fait preuve d'avarice incompatible avec Sa générosité, et de faiblesse incompatible avec Sa puissance.” Or, décrire ainsi Dieu est impossible et une telle conclusion impensable ! Si, en plus de ce monde, Il en avait existencié d'autres, et cela indéfiniment, ils lui auraient été analogues. Il ne Lui aurait pas été possible d'ajouter une réalité qui n'existait pas déjà dans ce monde. Et s'il n'est pas possible d'y ajouter une quelconque réalité, c'est qu'il n'y a rien dans la Possibilité de plus parfait que notre monde.[4] »
Notre monde est l’Univers ; il inclut la totalité des univers
Actuellement, tous les scientifiques s’accordent sur la possibilité qu’il y ait, dans le cosmos, quantité de « Terres », d’exoplanètes, où la vie humaine a pu ou pourrait se déployer comme sur la nôtre. L’estimation de leur nombre ne cesse de grandir. Mais, si notre ethnocentrisme succombe à la découverte de ce qui était caché, ce n’est pas pour autant que l’Univers cesse d’être UN dans sa multiplicité !
 
Traditionnellement, en Occident, la Matière est vue à travers les quatre éléments, Terre, Air, Eau, Feu, qui n’ont rien à voir avec la classification périodique des éléments établie que le chimiste russe Mendéléev reçut par inspiration en rêve, de la même façon que le mathématicien Fermat pour son fameux théorème.
« Le Principe des Principes donne les quatre Substances et Tout naît de “la”…, “la” veut dire “non” en arabe : il n’y a pas d’autre Dieu que Dieu, “non”, “la”, “la”, “la” : tout n’est de “la”…. Tout ce qui naît n’est, ce n’est pas. La seule Réalité, c’est l’Unité. Il n’y a que le Un qui est Réel.[5] » Il est juste d’ajouter un cinquième élément, l’éther ; chacun d’eux d’ailleurs contient les quatre autres pour un huitième chacun[6] !
La chimie ayant divorcé de l’alchimie s’est coupée de l’essence des choses ; elle enseigne un point de vue limité qui se perd dans la multiplication du multiple. Qui se souvient encore que Newton était avant tout un alchimiste ? Dans son optique, le phénomène (l’objet perçu) n’était pas alors dissocié du noumène, l’objet en soi ; actuellement la science est incapable de rendre compte de son objet. Au XIIIème siècle, saint Bonaventure, docteur de l’Eglise, disait : « Il y a deux façons de regarder les choses, comme des objets ou comme des signes », et les signes donnent un sens qui ne peut être découvert à la seule vue de l’objet dans son aspect physique.
La Tradition permet à l’homme une compréhension opérative des sensations humaines et de l’essence des choses, com-préhension qui dépasse celle du seul mental. Aux quatre éléments différenciés depuis la substance unique, s’ajoute l’Ether les englobant, matrice de tout ce que nous percevons, et appelé en Orient, Akasha.
Une vision holistique de la matière se fait jour actuellement, et l’hypothèse d’une holomatière est émise par un physicien et épistémologue, Emmanuel Stanford : « Parions que la science de demain aura admis et compris la nature non strictement matérielle de la conscience, et qu’elle saura l’englober dans une vision plus vaste et plus profonde du réel.[7] » Quel non-sens que de réduire la conscience à une sécrétion du cerveau !
Quant à la Matière et à la Manifestation, chez les scientifiques, les théories les concernant se succèdent au cours du temps ; lorsque l’une d’elle est validée par les expériences et les vérifications, elle rencontre tôt ou tard un fait nouveau qu’elle n’intègre pas. Elle est rendue caduque. Ainsi s’affine le décodage de la Matière sur un certain plan, mais c’est à chaque fois neti, neti, « c’est pas ça, c’est pas ça », la via negativa, la voie apophatique, et la science rejoint en cela, bien malgré elle, l’Initiation traditionnelle ! L’humain s’emploie à ce décodage dans tout ce qui est recherche scientifique, mais, selon le mot de Rabelais, « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme, c’est pourquoi il convient d’aimer et craindre Dieu », comme il a été rappelé souvent avec justesse. Et différents niveaux de conscience sont à l’œuvre dans la Matière… Mais « DIEU n’est pas un nom ni une personne mais il est de vous ce qui EST la VIE[8] », comme nous l’avons déjà dit.

Sans l’observateur, qu’est la matière observée ?

« La théorie quantique. Avec elle, les interprétations de l’univers, conformes au bon sens, que sont l’objectivité et le déterminisme ne peuvent être maintenues. Que devons-nous mettre à la place ?  Que la réalité en soi n’existe pas. Qu’elle dépend de la façon dont nous décidons de l’observer.[9] »
Le paradoxe scientifique actuel n’est-il pas que la matière n’est pas matière, mais onde et énergie ? Et cela simultanément ! Notons une nouvelle fois que le réel des scientifiques, la seule réalité observable, n’est pas le Réel du métaphysicien qui englobe la Totalité Universelle, aussi bien le manifesté que le non encore manifesté et la Source de toutes les sources de manifestation.
L'Origine de Tout est le Point de Radiance d'où naissent :    « Sons, Couleurs, Rythmes, le Mouvement de la Vie en somme, dans son Plan encore imperceptible et invisible à la Terre[10] ».
Qu'est le Monde, l'Energie-Onde, la Création ?
Essentiellement l'Idée[11] de Dieu qui prend Forme[12] depuis le Principe, le Point originel et « l'Idée de Dieu est la Connaissance Universelle.[13] »
Le méta-physique nous projette dans l'au-delà du physique d'où émane la matière, en un premier temps substance indifférenciée.
« En effet, du Point (symbolique) créateur, la Substance (...) est émise sans distinction de formes (...) : CRÉATION...
Les ondes qui s'en diversifient (...) signent la MANIFESTATION.
En se “cristallisant” (...) les Formes sont générées : GÉNÉRATION Tri-unitaire, à savoir : le Pôle Créateur + le dualisme naturel (masculin-féminin, oui-non, ici-ailleurs, etc. ...).
La MULTIPLICATION s'ensuit... »
[14], contenue en puissance dans cette unique substance.
L'onde est la pure potentialité de la matière. Quelle est sa réalité ? Seul l'observateur mental lui donne forme.
« C'est (...) l'observation qui crée la réalité. Avant l'observation, l'électron revêt son habit d'onde. Le potentiel ne se réalise qu'après l'observation.[15] »
Qui supprimera jamais la dualité observateur-observé ?
En l'absence d'observateur, y a-t-il quelque chose à observer ?
L’observateur ne peut-il pas être considéré comme le créateur de ce qu’il observe ? Pour le meilleur… ou pour le pire !
Chaque observateur vit donc dans sa perception, dans sa représentation du monde, dans son monde. « Car la vision d’un homme ne prête pas ses ailes à un autre homme. Et de même que chacun de vous se tient seul dans la connaissance de Dieu, de même chacun de vous doit être seul dans sa connaissance de Dieu et dans sa compréhension de la terre.[16] » C’est pourquoi « il nous faut être particulièrement prudent en disant que nous avons découvert une structure particulière ou un schéma dans le champ d’énergie humain, car il se peut que nous ayons créé ce que nous avons trouvé[17] » !
Une autre considération peut donner matière à réflexion : observant le monde physique, les astronomes ont baptisé “trous noirs” toute région de l'espace dont la lumière ne peut s'échapper... En astrophysique, un trou noir serait donc un objet massif dont le champ gravitationnel est si intense qu’il empêcherait toute forme de matière ou de rayonnement de s’en échapper, une étoile effondrée entraînant l’espace. Là, le temps s’arrêterait ! De tels objets n’émettent donc pas de lumière et sont alors noirs. Dans les trous noirs, nous disent les astronomes, les in-formations disparaissent en très grande partie, effacées, à moins que cette information ne demeure holographiquement inscrite à la surface du trou noir ! Lorsque l’objet tri-dimensionnel est absorbé par le trou noir, toutes les informations qui le concernent seraient enregistrées à la surface du trou noir. A partir de ces informations bi-dimentionnelles l’objet pourrait être reconstitué ![18] 
Le “trou noir”, à l'effrayante puissance d'absorption, évoque la Lune Noire, point fictif du ciel astrologique associé à Lilith, la première compagne de l'Adam primordial androgyne, selon le Zohar. Par-là, il évoque la voie abrupte et dangereuse, celle qui conduit celui qui doit se purifier de ses passions pour parvenir au centre lumineux de son être, à l'Unité.
Et la racine latine de « considérer », sidus, signifie constellation, c’est-à-dire regarder l'ensemble des étoiles ! Les projets scientifiques actuels visent à étudier la matière noire de l'Univers ! Elle attirerait par sa force gravitationnelle et sa masse serait faite de particules inconnues. L’énergie noire expliquerait l’expansion accélérée de l’Univers par sa force répulsive. Mais le physicien israélien Mordehai Milgrom s’est opposé à cette théorie dès 1983 : son hypothèse, la théorie MOND, n’a nul besoin de cette énergie noire pour rendre compte de l’expansion de l’Univers : il suggère pour cela que la deuxième loi de Newton[19] ne s’applique pas aux très petites accélérations.
Les scientifiques ne connaissent à ce jour que 4% de la nature de l’Univers ; il y aurait par ailleurs 23% de matière noire et 73% d’énergie dite sombre.
La matière noire, invisible, n’interagirait quasiment pas avec la matière et serait cette masse essentielle mais cachée de l’Univers, indispensable aux conjectures des astronomes[20] !
Pendant longtemps, les trous noirs n’étaient qu’hypothétiques et n’intéressaient personne ; puis un observateur crut à cette hypothèse qu’il vérifia. Est-ce sa croyance, et la croyance de ceux qu’il convainquit qui fit que l’on en découvrit en grand nombre ?
L’énigme de l’existence des trous noirs n’est que « virtuellement » résolue à partir d’un big bang hypothétique ! « Au bout de 800 millions d'années d'exercice des lois de la physique, pas moins de dix trous noirs d'au moins un milliard de masses solaires avaient vu le jour dans cette tranche de cosmos, dont un avait même atteint 3 milliards de fois la masse de notre étoile. Comment ? Les auteurs de l'étude se sont aperçus, en zoomant sur ces géants, qu'ils s'étaient gavés de courants denses de gaz froid. La première hypothèse semble donc être la bonne étant donné que les fusions de trous noirs, si elles ont bien été constatées, se sont avérées trop rares pour produire les ogres de très grande masse qui dévorent la matière dans les noyaux des galaxies.[21] »
Pour Modehai Milgrom : « La croyance est fortement influencée par ce que vous voulez qu’il y ait plutôt que par ce qui est réellement. Et parce qu’il y a des intérêts puissants dans ce débat, je dirais en effet, pour la plupart des gens, leur opinion est fondée sur des “croyances” et non sur des preuves.[22] »

Les hypothèses unificatrices des connaissances scientifiques

La science, dans sa recherche continuelle d'une théorie unificatrice, émet l'hypothèse d'un point originel matière, ce qu’affirme un texte rabbinique ancien : « Quand le Saint béni soit-il voulut se manifester Il se concentra en un point... [23] » Chez les Bambaras du Mali : « C’est d’ailleurs par un “point”, une petite boule (kuru), que Dieu se manifeste en s’amassant dans le vide (kandalo) initial, y devenant le “ni”, âme et souffle vital de toute chose. Mais c’est en s’“encerclant”, c’est à dire en tournant sur lui-même qu’il a créé la vie. Le cercle figure donc l’esprit divin inconnaissable, dans sa perfection la plus absolue.[24] »
En science, l’avancée la plus spectaculaire trouve ses racines dans la physique quantique qui allait remettre en cause toute la physique d’Einstein. En 1900, Planck formule sa théorie et baptise “quanta” des quantités discontinues sous lesquelles est émise l’énergie. L’émission des rayonnements émis par les corps incandescents est vue comme discontinue, et, en 1905, Einstein met en évidence le fait que la photoélectricité et la propagation de la lumière s'effectuent par petits paquets séparés, par petites quantités, par quanta appelés photons.
Les découvertes scientifiques successives mettent fin à la séparation entre les concept d’espace et de temps tout d’abord. L’espace-temps compta alors 4 dimensions, trois dimensions de l’espace plus le temps. L’interaction entre les particules a mis fin à la séparation des concepts de Matière et de Force, dès lors que furent découverts les champs électromagnétiques.
Dans la nouvelle physique quantique, la géométrie euclidienne ne s’applique plus et la somme des angles d’un triangle, dans un espace courbe peut être supérieure ou inférieure à 180°. L’importance de l’énergie, liée à la force, s’impose. La matière se révèle impermanente, éphémère, la masse produisant des rayonnements, et inversement. La lumière est à la fois onde et particule ! L’énergie est proportionnelle à la fréquence de l’onde, le coefficient de proportionnalité étant la constante de Planck. La matière est liée à la gravitation et l’espace-temps est déformé par les tensions qu’elle subit. Elle se révèle élastique et la déformation qui n’est que d’un milliardième autour de la terre passe à un millionième autour du Soleil pour atteindre 20 à 30 % pour une étoile à neutrons[25]. Le mental humain ne peut que constater constamment la relativité de ses hypothèses et de sa compréhension puisque tout est relatif à sa capacité d’entendement !
En établissant l’équivalence masse-énergie, Einstein a pu rendre compte de l’énergie nucléaire. La célèbre formule E = mc2, au-delà de sa signification scientifique, peut être décryptée par le cabaliste ayant la Connaissance de la Langue des Oiseaux : E, l’Être Humain Parfait sur ses trois plans ; = “Ego-Centre de l’Unique” ; m : aime ; c2 : le 2 expose la respiration cosmique dont le premier temps est la chute (le C se referme en O, la totalité de l’espace-temps), et le second l’ouverture, le O s’ouvre en C à l’existence au-delà du temps.
 
En clair, l’Être Humain Parfait est la Totalité Universelle, “l’Ego-Centre de l’Unique”, dont l’Energie-Amour produit (expose) la Création d’un Espace-Temps qui se résorbe ensuite. C’est la résolution, vécue en incarnation, de « “l’équation” de la Vie Totale à Elle-même[26] ». Là seulement se trouve la Liberté !
« Qu’est-ce que la Vérité ? c’est l’absence de dualité.
Qu’est ce que la Liberté ? c’est l’absence de relativité.
Se libérer de l’une, c’est se libérer de l’autre…
C’est pour cela qu’il est dit : LA VÉRITÉ TE RENDRA LIBRE.[27] »
 
 
[1] - Le chaos et l’harmonie : la fabrication du réel, op. cit.
[2] - Idem., p. 17.
[3] - Platon le Karuna, Les Chevaliers d’Aujourd’hui. Les Chevaliers de Demain, Les Editions de la Promesse, 1997, p. 179.
[4] - La Production des Cercles, Editions de l'Eclat, 1996, p. 29-30.
[5] - Emmanuel (Yves Monin), conférence inédite, janvier 1983, citée dans notre livre Le Miroir, symbole des symboles.
[6] - Voir Platon le Karuna, Le Mont Ventoux. Enseignements télépathique Année 1969, Les Editions de la Promesse, 2012, p. 23.
[7] - Quelle est notre place dans l’univers ?, http://www.franceculture.fr/emission-continent-sciences-quelle-est-notre-place-dans-l-univers-2013-03-11 et Quelle est notre place dans l'univers ?: Dialogues sur la cosmologie moderne, Suzy Collin-Zahn et Christiane Vilain, L’Harmattan.
[8] - Les Sons de Dieu, op. cit., quatrième de couverture.
[9]Dieu et la science, op. cit., p. 20-21.
[10] - Id., p. 28.
[11] - I-D : Voir Hiéroglyphes Français et Langue des Oiseaux, op. cit. ; L'Instruction du Verseur d'Eau, op. cit., p. 414-415. Egalement, La Métaphysique des chiffres : tous les Chiffres ne disent qu'Unité, chap. : Le Quadrangle de la Terre, Idée divine, auto-édition, 1998.
[12] - « F-O-R-me : Feu, Eau, Air en moi, en ma Terre », décrypte la Langue sacrée.
[13] - L'Instruction du Verseur d'Eau, op. cit., p. 418.
[14] - Emmanuel-Yves Monin, L'Univers en Code-barres : Dodécalogie et Transdisciplinarité, Auto-édition, 1999, p. 36.
[15] - Le chaos et l'harmonie, op. cit., p. 287.
[16] - Khalil Gibran, Le Prophète.
[17] - Michaël Tabot, The Holographic Universe, traduction d’Emmanuel-Yves Monin dans L’Inspiration, Dervy, 2007, p. 217.
[18] - Voir « Qu’est-ce que l’espace ? », Documentaire  (E. U. 2011), ARTE, 18 octobre 2012, 22h25.
[20] - Voir l’Edito d’Alain Ciron, « Partout il y a des planètes, Ciel et Espace, mai 2012.
[21] - Pierre Barthélémy, « L’énigme de la formation des trous noirs géants est virtuellement résolue », article du Blog « Passeur de Sciences », Le Monde, 15 février 2012 :
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/02/15/enigme-de-la-formation-des-trous-noirs-geants-est-resolue/
[22] - Cité dans l’article « Matière noire, le fantôme de l’Univers » de Gabrielle Carpel, in Ciel & Espace, octobre 2012.
[23] - Cité par Carlo Suarès dans Mémoire sur le retour du Rabbi qu’on appelle Jésus, p. 109.
[24] - Garyn S. de et Zahan, D., Systèmes de Signes, Hermann, 1978, « Un Enseignement donné par le Kerno », 1968. Cité dans notre livre La Métaphysique des Chiffres.
[25] - Thibaud Damour, Espace, temps, matière et force, CD audio De vive voix, 2010.
[26] - Les Sons de Dieu, op. cit.
[27] - L'Instruction du Verseur d'Eau, op. cit., p. 217.



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