L’Amour,
Irradiation de la Source des Sources
Où il est conté…
« Il est une fois »,
l’Innommable,
le Seigneur de tous les Seigneurs,
CELUI QUI EST,
Celui qui a marqué de Son Sceau l’Origine du Tout Manifesté
et qui n’a pas d’origine,
le « Dieu Unique universel[1] »,
le Sans-Second, à la fois Un et Multiple,
l’Unité des Unités qui transcende
« l’Energie Unitive de toutes les Déités Créationnelles[2] »
et qui est « l’Unité Créationnelle Universelle[3] »
IL EST,
c’est Tout
et rien n’est en dehors de Son Être,
sans doute aucun et sans aucune conjecture[4].
Aucun « dire » ne le contient.
Pour Lui l’Instant est Eternité. Il se contemple Lui-Même dans Sa joie de S’aimer dans les myriades de milliards d’Univers que sont Ses Irradiations, Ses Noms, Ses Attributs, infusion de Son Amour immarcescible, Lui qui ne peut être nommé et qu’aucun attribut ne peut définir puisqu’Il n’est ni Esprit, ni Matière, ni Matière-Esprit ou Esprit-Matière.
IL EST et IL N’EST PAS.
Aussi Est-il Tout ce qui Est, Amour qui « Immane » de Lui, qui transcende Tout, sans que rien ne soit autre que Lui par son Immanence. Et pourtant Transcendant ce Tout, au-delà de l’Être et du non-Être !
Son irradiation est un brasier d’Amour en fusion dans lequel les univers et les mondes naissent et disparaissent d’Instant en Instant dans l’Eternel Présent de son Présent.
Tout ce qui est quintessence n’est que Rayonnements, Radiations, Infusions d’Amour qui se dégradent en Essence de plus en plus dense. Celle-ci se dégrade en Substance universelle et ainsi, de là, « l’Esprit féconde Matière[5] », Fruit de Son Emotionnel.
Et Moi, le Conteur qui conte depuis la nuit des temps les mythes et les légendes qui tissent le devenir des humains, Je ne suis pas autre que Lui tout comme Toi qui me lis ou m’écoutes ! Mais, n'en doute pas, IL est autre que moi ou toi, Transcendant…
Ce pourquoi il est écrit ici ce qu’il advint à cette Facette de Lui qu’Il précipita dans un rêve extraordinaire afin qu’Elle Le connaisse et Se connaisse en vérité dans la totalité insondable et indéfinie de Son Amour.
Mon Intelligence, un hologramme de la Sienne, fut comme plongée dans l’hébétude lorsque retentirent les vibrations du Ommmm…[6]
Cette Sonorité créa l’Univers dans lequel je fus instantanément plongé.
La Conception Immaculée[7] de Son Idée Créationnelle m’est infusée.
« JE » n’existe pas encore et voilà que cette vibration sonore lui donne cohérence.
Mon visage « alors que je n’étais pas[8] », « celui de mon éternelle jeunesse[9] », est le Sien avant que l’Espace-Temps de ce rêve ne me submerge.
Cette Cause des Causes, dans un élan d’Amour immarcescible, s’enroule sur elle-même[10]. Le Feu de l’Amour irradiant concentré en un Point infime (qui n’est point un point !) implose : Ommmm.
Une déflagration fulgurante, extraordinaire, retentit que nulle oreille n’entend, que nul œil ne voit et l’Unique-Ce-Qui-Est se dédouble dans le miroir qu’Il crée.
Lui, le Dieu des dieux, “prend refuge dans la Ténèbre[11]”, la Lumière Noire d’avant la séparation de la lumière et des ténèbres[12]. C’est la création de la lumière noire et de la lumière blanche, une noirceur non-couleur et une blancheur non-couleur, la prémisse de tous les dualismes.
Au Point central de l'Univers,
l'implosion dans la Lumière
d'avant la séparation de la Lumière et de la Ténèbre,
Radiance... Un ébranlement extraordinaire secoue ma conscience, jusque-là perdue, fondue en Lui, et je me trouve plongé dans le début de ce rêve étrange, magnifique et terrible. Le pur Esprit que Je suis est comme hypnotisé par cette déflagration qui se répercute en créant cet espace indéfini, vivant, insécable du temps qui lui est conjoint.
Au même Instant du temps qui se crée, toutes les Faces de l’unique sont ainsi hypnotisées et se plongent dans une hébétude semblable, chacune créant le monde de son rêve et tous ces mondes ne sont qu’un seul et même monde qui n’est pas autre que Lui ; l’Energie-Amour unitive et universelle est à l’œuvre, expression de Son Emotionnel. Il veut Se connaître… Lui, l’Inconnaissable ! Il crée l’Homme pour Se voir par Ses yeux, parler par Sa bouche, entendre par Ses oreilles, mais IL Le laisse libre de L’accueillir en Lui pour cela… ; et cela par Son Amour qui culmine dans Son humilité !
Dans un frisson d’Amour et de crainte mêlés, saisi par l’effroi, je me jure de ne jamais oublier Sa transcendance absolue qui est mienne et sans laquelle je ne peux Être.
L’Intelligence Suprême crée cette Matière de toutes les matières, un vide plein de tous les possibles, des milliards de milliards de milliards d’Atomes Originels jaillissent de Son Idée, Atomes Vivants programmés par l’Amour et l’Intelligence pour constituer une Unité indéfectible. Chaque particule infinitésimale remplit l’univers tout entier de l’émission de ses ondes et toutes sont interconnectées. Son Intention est à l’Œuvre et tout concourt à son aboutissement lorsque "noumène" produit "phénomène".
Les Puissances célestes sont ébranlées. L’Univers est Sa Pensée et le présent, intégrant en lui le passé, a connaissance de l’avenir qu’il contient potentiellement. La communication instantanée est universelle et, qui plus est, intelligente, entre tout ce qui est Vie ! Les Adam-Lillith sont une multitude innombrable, ayant reçu la liberté pleine et entière d’être Son reflet et de pouvoir créer à Son Image sans oublier Sa Transcendance en laquelle s’enracinent leur Êtreté et leur Pouvoir Créationnel. La Conscience toute consciente les anime d’une connaissance instantanée qui est jouissance d’Amour.
Je suis « Personna », l’une des Déités Créationnelles[13] et Je crée mon monde. La vocation qui m’est dévolue m’en fait Père et Mère à la fois, indistinctement, inséparablement.
Mâle et femelle suis-je en puissance, l’un des “Adam-Kadmon” androgynes comme il se dit en ce temps où ces mots s’écrivent, et ma compagne, l’une des “Lilith” [14], femelle et mâle, androgyne aussi, par la Conception que nous avons de nous-mêmes. Et l’Incarnation dans les Formes qui prennent chair se produit naturellement. Et chaque forme est porteuse d’in-formations qui programment son devenir inéluctable.
Les formes ne sont que la densification-matière des champs d’énergie qui immanent de la Source. Ils sont, ces champs d’énergie, des vibrations que l’on dit magnétiques, électromagnétiques et autres, selon les nomenclatures mentales qui apparaissent en ce temps de la terre. Et chacune de ces particules, du point de l’espace qu’elle parcourt à une vitesse vertigineuse, est également une onde qui remplit l’Univers et reste en lien avec toutes les autres. Certaines atteignent des vitesses supérieures à celle de la lumière que nous connaissons, car tout est à jamais indéfini. Ondes et particules sont, elles, dans l’Unité-duelle de la manifestation. Cela est la Substance universelle indifférenciée.
Les savants de l’Occident - l’Occident est tourné vers le couchant, dans la direction de « la mort pour la mort », enseigne la Tradition - disent que ce fut le big bang, « quand nous remontons le temps jusqu'à 10-35 secondes, quand l'énergie de l'univers était de cent mille milliards (1014) de fois l'énergie de masse du proton, et quand il n'avait que la taille d'un millième de milliardième de milliardième de milliardième (10-30) de centimètre.[15] » Cela à 1027 degrés Kelvin ! Vous comprenez j’espère ? Mais, ô stupeur, les scientifiques découvrent que les particules jumelles s’accordent instantanément à des distances inouïes, au-delà de toute raison !
Les Soufis de l’Orient - L’Orient est tourné dans la direction du Soleil levant, de la nouvelle naissance, de « la mort pour la Vie » - disent que ce fut là l’Énergie du Pur Amour Créateur qui se manifesta, qu’il n’y a pas de commencement à ce qui n’a pas de fin, à ce qui est de toute Eternité, d’Instant en Instant, puisque chaque instant du temps voit toute la création se détruire et renaître, toujours neuve. Lorsque le véhicule chair retourne à la Matière, le Pulsif de la Vie continue son œuvre et l’Esprit retourne à l’Esprit....
Les Deux Lumières, noire et blanche, s’attirent et se repoussent par la Force de l’Amour. D’Elles naît la Radiance des couleurs fondamentales. Ainsi apparaît « la sainte Trinité du noir, du blanc et des couleurs [16] » ! Toutes s’unissent et se marient à l’infini pour rayonner dans l’Espace qu’elles créent en se densifiant depuis la plus fine subtilité jusqu’à l’extrême possible de la lourdeur et de l’opacité. Des myriades de couleurs naquirent ainsi dont les plus subtiles ne parviennent pas encore jusqu’à la planète Terre !
Les savants de l’Occident disent qu’existe un spectre lumineux qui va de l’infrarouge à l’ultraviolet.
Les Soufis de l’Orient de la Vie disent qu’ainsi naquit le monde des Intelligences Chérubiniques, monde du temps hyper subtil, puis celui des Intelligences Archangéliques, celui des Intelligences Angéliques des mondes du temps subtil, et celui de l’extrême pointe du Cœur. Elles précédèrent l’intelligence humaine[17] enfermée dans le temps cyclique, et la dépassent amplement.
« Personna » ? « Déités créationnelles » ?, Chérubins ? Archanges ? Anges ? Dieux et Déesses ?… Des mots différents pour dire l’indicible ! Une Hiérarchie au seul service de l’Amour. Chaque “Adam-Kadmon” est Unité-Duelle, couple d’anges, d’androgynes qui ne connaissent que la joie fusionnelle de l’Amour.
« Les Anges qui sont-ils ? Ce sont des Énergies…[18] », des Énergies vivantes et conscientes, comme également les dieux grecs ou autres. Ces Énergies de Feu créèrent l’Univers.
« … Deux gouttes de Feu se détachent de la Toute Puissance Universelle… En tombant, le choc cosmique donne lieu au Magma fusionnant et bouillonnant.
Lentement, le Feu dévore et brûle ce Monde qui vient de se créer…[19] »
D’abord apparaissent les sept Ciels allant en se densifiant, partant de la plus subtile matière jusqu’à la plus extrême densité, en passant par la quintessence et par l’essence. Puis la Terre et les sept planètes dans le Ciel, un Univers dans la myriade des Univers créés.
Qui a descendu un à un ces sept ciels les connaît de Source sûre, et garde en Lui, au tréfonds de son être de chair, la nostalgie.
Au Coeur de l'Être humain, l'Etoile... "Es-Toi-El" dit la Langue sacrée.
Le brasier du Feu de l’Amour qui habite le Cœur de la Terre se densifie, se refroidit en sa périphérie mais la terre reste pendant longtemps un bouillonnement de roches liquides se cristallisant, un magma en fusion allant en se solidifiant.
Seul la Claire Lumière en la Grotte du Coeur
peut dissoudre le rideau de Feu qui enserre l'âme.
Les religieux et les savants de l’Occident, du couchant, disent que le minéral n’est pas vivant mais inerte et que les humains peuvent l’exploiter pour leurs désirs de possession.
Les Soufis et les Savants de l’Orient de la Naissance connaissent le Secret. Cette Matière, produite par l’Intelligence Suprême, est porteuse, à sa mesure, de l’Esprit de la Pure Intelligence et elle est consciente et vivante au rythme qui est le sien. Un Principe organisateur transcende la Matière. Ce qui est dit "inerte" est vivant !
« Les Plaines solaires répandent leurs rayons.
Ces rayons sont les Énergies qui nourrissent la Terre,
cette nourriture est absorbée par le Terrien qui vit sur Terre
et restituée au Centre Causal de l’Univers qui,
lui, transforme le tout en Énergie Universellement Cosmique.[20] »
La Lumière Radiante des mondes de la Quintessence et de l’Essence inscrit Sa trace au Cœur du minéral et maintes couleurs archangéliques et angéliques se trouvent dans les ors, les cuivres, les métaux, les rubis, les émeraudes, les diamants et les saphirs, et dans tant d’autres choses cachées dans les entrailles de la Terre, dans la gangue des boues, dans le sable des océans. Tant de lumières et de couleurs ainsi enchâssées dans la Terre. Et cela est l’effet de l’Amour !
Les Soufis et les Savants de l’Orient de la Naissance respectent la Terre qu’ils considèrent comme une Mère aimante tandis que les savants et les religieux de l’Occident, du couchant, exploitent tout cela pour satisfaire leurs désirs insensés.
Dans le magma en fusion apparaissent les roches, mais ses bouillonnements firent aussi apparaître les Eaux primordiales, et l’Air, que précède l’Ether du Ciel de la Terre, chacun avec son Intelligence à sa juste mesure, esprits nés du Grand Esprit, intelligences nées de l’Intelligence Suprême.
Les Sept Ciels ensemencent la Terre. Naissent alors la multitude des végétaux qui, plongent leurs racines dans le minéral, rendent Gloire au Créateur dont ils sont les miroirs, et l’Esprit est en eux, à leur mesure. Et cela est l’effet de l’Amour !
Les Soufis et les Savants de l’Orient de la Vie en portent témoignage.
Les savants et les religieux de l’Occident, du couchant, ne voient là que choses à exploiter pour leurs désirs de puissance temporelle.
Le règne dit minéral se prolonge naturellement dans le règne dit végétal sans qu’il y ait de discontinuité ailleurs que dans les nomenclatures des humains mentalisateurs. Les végétaux croissent naturellement en symbiose avec le minéral, tandis que les eaux du Ciel formant les océans sont ensemencées de formes animales qui les peuplent avant de coloniser la terre et le ciel de cette Terre sans qu’il y ait eu pour autant de césure entre le végétal et le règne dit animal.
La multitude des formes animales rend gloire au Créateur en reflétant toutes les couleurs que la lumière porte en son sein, et chaque espèce est porteuse à sa mesure de l’intelligence et de la Conscience qu’elle tient du Grand Esprit, des Intelligences célestes et par eux de l’Intelligence Suprême. « Dieu vit que cela était bien[21] » ! Et cela est l’effet de l’Amour ! Partout se déploient les copulations amoureuses pour l’ensemencement de la vie, entre les végétaux, entre eux-mêmes et les animaux, dans le règne animal et dans le règne qui est encore celui de l’animal humain.
Les Soufis et les Savants de l’Orient de la Vie respectent et aiment les animaux comme les règnes qui les précédèrent. Les savants et les religieux de l’Occident, du couchant, sans conscience, à l’intelligence obscurcie, ne voient là que choses à exploiter pour satisfaire à leurs désirs avides.
Mais voilà qu’au septième Ciel, les couples “Adam-Kadmon” se séparent dans les apparences de ce Ciel. Progressivement, les “Adam-Kadmon” et les “Lillith” descendus du septième ciel prennent forme humaine. Couronnement du règne animal, ils sont Adam et Eve en formes séparées, se connaissent, s’aiment, vivent en harmonie. Leur corps de lumière, leur corps portant témoignage de la Gloire du Créateur deviennent chairs semblables à celles des mammifères les plus évolués. Voilà que l’oubli a embrumé leur cœur ; ils perdent peu à peu le souvenir de la Source et les sept Ciels deviennent sept voiles. Chacun se met à penser par lui-même au lieu de réfléchir le Penser du Divin créateur, Source première, originelle, de tout ; et cette Terre paradisiaque devient peu à peu l’enfer que nous connaissons.
Pourtant, toujours, en tout temps et en tout lieu, La Lumière pure et originelle sera envoyée jusqu’à eux pour les guider sur le chemin possible du retour de l’exil où ils se sont mis par oubli, générant l’ignorance, la vanité et la croyance en la naissance et en la mort. Et voilà qu’ils se multiplient à la manière des animaux, hors de toute véritable raison.
Soufis et Savants de l’Orient de la Naissance, savants et religieux de l’Occident du couchant sont apparus en dernier, ces humains doués d’Intelligence, ayant en eux le « germe d’Immortalité » qui peut leur permettre de quitter l’exil terrestre pour redevenir ce qu’ils étaient avant la dernière densification de la Matière. Les premiers, l’Élite de l’élite, peu nombreux au demeurant, unissent la « crypte » qu’est la Terre au “Temple” de son Ciel[22] pour que la Vie véritable soit. Non pas le ciel des physiciens et des astronomes, mais les Ciels angéliques et archangéliques. Et cela est l’effet de l’Amour !
Alors, ceux qui se tournent vers l’Orient de la naissance sont habités par l’Intelligence qui les guide vers « l’Existence au-delà du temps[23] ». Cette existence est “déjà” là et “pas encore” là ! Ceux qui se tournent vers l’Occident du couchant et de la mort tuent leur âme, se ferment à la Lumière de l’Esprit et créent leur propre enfer. Mais leurs yeux ne peuvent pas ne pas s’ouvrir à ce qu’est la Vie, en juste temps, au terme de leurs ré-incarnements, un temps “déjà” et “pas encore” là, un Temps qui est subtil, voire hyper subtil, qui est le Présent de l’Instant sans cesse répété.
Longtemps, les “Adam-Kadmon” avaient vécu sur la Terre alors céleste où ils prirent forme humaine, dans la paix et la joie, en parfaite harmonie avec les règnes qui les avaient précédés, les minéraux, les végétaux, les animaux que nous dénombrons actuellement mais qui étaient et sont toujours un multiple unitif. Tous étaient en lien avec leur Transcendance, la Source Originelle à laquelle ils devaient leur existenciation dans ce Paradis à la fois céleste et terrestre. Leur corps de chair était incorruptible ; ils ne connaissaient ni maladies, ni douleurs et transmutaient celui-ci en Vie-Lumière, leur Corps à la Gloire de l’Unique. Ils vivaient l’Unité de leur Être simultanément sur tous les plans, des plus éthérés aux plus denses.
La Vie peut se rétablir ainsi comme “IL” ne cesse de l’offrir… pour tous ceux qui L’accueillent et qu’IL accueille…
[1] - L'Instruction du Verseur d'Eau, op. cit., p. 323. [4] - Voir Rûzbehân, Le dévoilement des secrets, Seuil, 1996. [5] - Voir, Le Manuscrit des Paroles du Druide…, op.cit. [6] - Karuna Platon, Les Sons de Dieu , Le Point d’Eau, 1986. [7] - Notre livre Le Miroir, symbole des symboles, (Dervy, 1995), 2ème éd. : Lyon, Editions du Cosmogone, 2011, chap. « La Conception Immaculée ». [8] - Voir Maître Eckhart, Sermons. [9] - Régor, « La naissance de Gwendel », Contes qui coulent de Source, éd. EDIRU, 2006. [10] - Voir la cosmogonie des Dogons dans Dieu d’eau, Marcel Griaule, Fayard, 1966. [12] - Voir Le Miroir, symbole des symboles, op. cit., chap. « La Lumière d’avant la séparation de la lumière et des ténèbres ». [13] - L’Instruction du Verseur d’Eau, op. cit. p. 321. [14] - Voir la légende de Gilgamesh. [15] - Trinh Xuan Than, Le chaos et l’harmonie : la fabrication du réel, Fayard, 1998, p. 314. [16] - Expression de Joanne Lamy (Québec), correspondance. [17] - Voir Sohravardî, L’Archange Empourpré, traduction d’Henry Corbin, Fayard, 1976. [18] - L’Instruction du Verseur d’Eau, op. cit., p. 106. [19] - Idem, chap. « La Création », p. 84. [20] - Platon le Karuna, La Racine Fondamentale, Les Éditions de la Promesse, 2004. [21] - Genèse, 1 - 18 : « Elohîm voit : quel bien », traduction A. Chouraqui, La Bible, Desclée de Brouwer, 1989. [22] - Voir Henry Corbin, Temple et Contemplation, Flammarion, 1981. [23] - Expression de Platon le Karuna dans ses ouvrages parus. "Image de l' OEil de l'Âme" :
dans un triangle doré,
un petit triangle bleu foncé dans lequel se trouve un OEil.
De cet OEil se dégagent toutes les Couleurs de l'Arc-en-Ciel,
et de la pupille part "un Rayon de Lumière qui Regarde"...
Karuna Plato, L'instruction du Verseur d'Eau, Les Editions de la Promesse, 2000.
Peinture réalisée d'après la couverture du livre de Karuna Le Visage des Glaciers.
http://www.leseditionsdelapromesse.com
Les peinture ont été réalisées par l'auteur :
http://r-r-y-mougeot.wifeo.com/alchimie-et-peinture-mandalas-.php
http://regorconteur.wifeo.com